Partager l'article ! 2011_04_Suspensions: Suspension tête en bas, puis suspension, les cuisses largement écatées et les mains à la même hauteur, comme un sac à ...
Suspension tête en bas, puis suspension, les cuisses largement écatées et les mains à la même hauteur, comme un sac à patates...
Cathy ne fait pas dans la dentelle !
Son maître lui a installé un treuil, au grenier, et le spectacle a pu commencer...
La prochaine fois, en plus de la suspension, il y aura le fouet...
Première suspension au grenier
De la position couchée, je suis passée en chandelle et de chandelle, en suspension par les pieds……..(J’adore les suspensions !)
Première fois, premiers frissons !!!
A nouveau, il me fallait contrôler ma respiration, m’habituer à cette nouvelle position qui cependant, n’était pas douloureuse.
J’étais privée de la vue, mais était ce vraiment un mal, pour moi qui ne souffre pas la hauteur ? Mon Maître était là, me rassurant et malgré ses paroles, je n’ai pas pu tenir longtemps. La tête me tournait, j’avais perdu mes repères et même si je me savais parfaitement attachée, je fus prise d’une sensation de vertige.
Dès lors, il me recoucha confortablement sur le sol et me fit jouir afin de me détendre. Ce remède marche à merveille !......
Je crois qu’il aurait vraiment aimé que j’y retourne encore tête en bas, mais il n’a pas pris le risque de me perturber et il décida de m’attacher les mains sur la barre qui me gardait les pieds attachés et écartés.
Il actionna le dispositif à nouveau.
Il n’y a pas de mots pour décrire ce qui s’est passé ensuite.
A cet instant, j’ai réalisé à quel point il pourrait disposer de moi ainsi exposée, exhibée, offerte et combien j’étais accessible, complètement à sa merci.
Un peu plus tard, j’ai perçu qu’il actionnait le treuil à nouveau et je me suis dit intérieurement que je n’avais pas envie de redescendre. Mais j’étais toujours suspendue.
Je devais me trouver au sommet de l’apaisement. Je ressentais une immense quiétude, un bien être absolu. Je n’entendais plus que les déclics de l’appareil photo mais la réalité m’importait peu. Tout me semblait tellement irréel !
J’étais ailleurs, là où plus rien ne pouvait m’atteindre.
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